Victoria P. McCallister
l VICKY l the beginning of the end
Messages : 38
Date d'inscription : 01/07/2009
Age : 35
SEA-SEX-SUN
En Manque .:
    (89/100)
Relations *:
Métier: Strip-Teaseuse
 |  Sujet: VICKY ••• barbie girl  Mer 1 Juil - 10:39 | |
| <<Hey gorgeous, who are you?■ NOM & PRÉNOM: Victoria Paige McCaillister
■ ÂGE: 23 ans
■ NATIONALITÉ: POW
■ GROUPE: Boom Boom
■ PRÉDÉFINI: Oui [ ] Non [ X ]
<<You're beautiful, it's true■ DESCRIPTION PHYSIQUE: Victoria est une jolie blonde, aux formes généreuses. Elle aime son corps. Cependant, elle cache bien son jeux. En effet, la jeune McCallister s'est fait refaire le nez à l'âge de 18 ans, tellement complexée par cette partie de son visage. La belle n'en reste pas moins séduisante et charmante.
■ STYLE VESTIMENTAIRE: Côté fringue, Victoria ose tout : du flash ou trash, elle n'hèsite pas à se faire remarquer. Plutôt des tenues provocantes, la belle McCallister porte généralement des vêtements assez courts, de quoi faire saliver les jeunes hommes.
■ PARTICULARITÉES: Victoria a un tatouage sur la nuque.
■ LE PETIT COMPLEXE: Vicky n'est très fan de ses mains - à chacun son truc -
<< Tell me more, tell me more...■ CARACTÈRE: Plutôt provocatrice, Victoria Paige McCallister ne laisse rien au hasard. Manipulatrice, voleuse de mari, croqueuse d'homme, la jeune blonde ne fait rien à moitié. Très sûr d'elle et capricieuse, elle est du genre dépensière et est prête à dépenser des milliers de dollas en fringue.
■ QUALITÉES: Parfois généreuse et charmante, Victoria n'est pas du genre à laisser tomber ses études. Elle est quelqu'un d'intelligent, et assez marrante.
■ DÉFAUTS: Capricieuse, du fait de son éducation, Victoria est une fille à papa qui cherche toujours du réconfort. Hypersensible, et maniaque, elle cherche toujours la perfection ce qui peux parfois énervée certains.
<< Would you reply to me? ■ TON PLUS GRAND PÉCHÉ? Luxure
■ TON STYLE DE MEC/NANA? Jean Paul Belmendo (quand il était jeune)
■ TU CONSOMMES/ A DÉJÀ CONSOMMÉ DE LA DROGUE? SI OUI, LAQUELLE/LESQUELLES? Je ne suis pas une droguée.
■ TA PREMIÈRE FOIS, C'ÉTAIT À QUEL ÂGE? 15 ans, j'suis précose enfait.
■ TA CHANSON PRÉFÉRÉE? SCREAM - michael jackson
<< Hors Jeu
■ STAR DE L'AVATAR: Kristen Bell
■ OÙ AVEZ-VOUS CONNU BBP?: Par l'une des admins
■ NOMBRE DE LIGNES MOYENNES DANS VOS RP: 10/15
■ PRÉSENCE : (6/7)
Dernière édition par Victoria P. McCallister le Mer 1 Juil - 14:41, édité 3 fois | |
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Victoria P. McCallister
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| | Sujet: Re: VICKY ••• barbie girl Mer 1 Juil - 10:58 | |
| << What have you been through? ■ ENFANCE:
Victoria Paige McCaillister. Tu es née, voilà 23 ans, dans un milieu bien aisé, sous une chanson d'Edith Piaf, la Vie En Rose. 23 ans oû de là oû je suis, je t'observes de loin. Ta mère, Eleonor Hale, est une grande styliste américaine. Ton père, Jean Igor McCallister, un grand photograpje. Tu vis là et tu vis loin. Et oui, quand papa et maman divorce, tu n'as que 3 ans et déjà tu comprends. Tu sais que plus rien ne sera comme avant, papa, maman, Vicky, rien ne pourra redevenir normale. Tu vis avec ta mère dans les appartements luxeux de Miami, ta ville natale ; tu aimes la vie, la nature et tes amis. Tu aimes jouer à la Robinson et faire la folle. Oui, tu es toi ! Et puis, tu grandis, tu grandis encore ; maman est contente de voir sa fi-fille mûrir aussi bien. En grandissant, ta beauté s'affrime, ta personnalité aussi. Tu fais en sorte d'être la meilleure petite fille du monde, car tu sais que papa & maman t'aimeront toujours. Et pourtant, tu as besoin sans cesse d'être une nouvelle personne ; tu aimes t'identifier aux autres, mais au fond de toi, tu es la seule qui est vraiment trouvé sa voie. Tu aimes hurler quand tu es triste, tu aimes chanter pour te soulager. Tu n'ais pas du genre à faire semblant quand tu vas mal ; tu le dis, pour que ça passe. Victoria, rien ne pourra changer ; maman et papa, toi .. Le drame ? Ce fut lorsque maman a rencontré un jeune homme d'origine italienne, Victor Balbovi, un musicien dans l'âme qui avait fait craquer le coeur de ta mère. C'est si facile d'apprécier quelqu'un qu'on a choisie ; sauf que toi ,tu ne l'aimes pas. Jamais il ne prendra le rôle de ton père. Victor est peut-être l'homme qu'aime ta mère, toi, tu le detestes. Mais la vie se veux cruelle ; tu n'as pas le choix. Tu dois vivre avec ce type qui fou en l'air ta relation avec ta mère. Tu as beau vouloir tout faire pour te monter intéressante, ta mère ne t'écoute plus ; pourtant, elle t'a toujours aidé. Sauf qu'aujourd'hui, un nouvel homme est entré dans sa vie.
VICTORIA : Pourquoi maman ? Je croyais que ce type ne valait rien ?
ELEONOR : Chérie, je t'aime. Et je l'aime tout autant que toi. Sache qu'il me rend heureuse.
VICTORIA : Et papa, il ne te rendait pas heureuse ? Je n'aime pas ce V-I-C-TOR. On dirait qu'il soit tout droit des entretiens d'embauches. Il ne veux que ton fric maman.
ELEONOR : Arrête de dire ça, Vicky ! Victor est un homme fabuleux, et que ça te plaise oû non, je l'aime !
■ ADOLESCENCE:
Finalement, tu avais raison. Victor n'était qu'un bandi qui préférait se marier avec ta mère plus avec son fric qu'avec son amour. Cet abruti à gâcher le coeur de ta mère, et finalement, elle t'a enfin écouté. Un soir, après avoir été cinéma avec des copines de ta classe de CM2, tu avais vue ta mère, une bouteille de wishy à la main, une clope au bec, et les larmes aux yeux. Deux billet d'avion posés sur la table à manger. Alors, tu lui avait dit : « Victor est parti ?» Tu avais eu l'impression d'avoir parler comme une idiote, car tu savais très bien qu'il était parti. Ses chaussures italiennes de 500$ n'étaient plus sur le pas de la porte, son manteau marron Louis Vuitton avait disparu, tout comme son préféré paquet de cigarette qui devait normalement être dans la salle de détente de la maison. « Oui, avait répondut séchement ta mère. Il est parti et ne reviendra jamais. Victoria, fais tes valises, on part à Miami dans trois heures. » Fuir, ta mère préférait faire ça plutôt que d'affronter le visage italien et innocent de Victor, qui avait briser son coeur. Soudainement, tu t'es activé ; tu es allée dans ta chambre, tu as pris toutes affaires ; tes albums photos que tu regardes régulièrement pour te remémorer tes souvenirs passés avec tes parents, lorsqu'ils étaient encore ensembles, quand la vie était encore simple et normale.
VICTORIA : Pourquoi on reste pas à Miami, j'adore Miami !
ELEONOR ; Ne te plains pas ma chérie. New-York est une belle ville. Tu t'y plairas, j'en suis certaine.
VICTORIA ; J'espère. J'ai du tout quitter ; mes amis, ma ville, ma chambre, tout ça pour New-York. Tu parles !
ELEONOR ; Ca suffit ! Je suis ta mère, c'est moi qui doit prendre des décisions, pas toi.
Alors, tu es arrivée à New-York ; à cette époque-là, tu avais 12 ans. Maman avait acheté une splendide villa dans la ville, et tu t'y est très vite intégré. L'adolescence pointant le bout de son nez, lorsque tu as découvert ton premier bouton sur le visage. Tu as immédiatement demander à maman de t'acheter une crème anti-boutons. Heureusement, tout s'est arrangé. Et puis, tu as grandies et tu as finie par faires des folies ; tu commences petit à petit à aller en boîte, à faire la fête avec tes nouveaux amis, tu bois pour la première fois, tu embrasses pour la première fois, tu aimes, tu apprends, tu enlaces, tu joues, tu rêves. Bref, ta vie devient petit à petit un peu plus normale. Mais rien n'y changera ; tu resteras cette adolescente brisé par la séparation de tes parents. Et pourtant. Ta petite crise d'adolescence fera bien gémir ta mère ; tu commences à fumer, à boire, à trainer avec des personnes infréquentables. Attention V. maman va s'inquiète pour sa fi-fille chérie. Quand tu rentres à cinq heures du matin, tu te fous du lendemain : tu vas en cours, t'évanouie sur ta table de travaille, tu embrasses des garçons que tu ne connais pas. Pour toi, c'est un jeu, une façon de te distraire. Mais tu sais que par dessus tout, tu restes cette idiote fille qui fou sa vie en l'air. Tu grandis, petit à petit, tu mûries. Tu fais 1m80. Tes seins sont parfaits. Tes cheveux sont magnifiques. Si j'étais toi, je marcherais nue tout le temps. Je n'aurais pas de boulot. Je n'aurais pas de qualifications. Je ne saurais même pas lire. Je serais juste... moi. Mais dieu sait que tu en veux toujours plus : et puis, tu arrives dans ta période Peace & Love. Tu comprends que tu dois grandir, que tu dois vivre normalement ; alors, tu chantes Trouble de Coldplay dans ta chambre peinte en noir, tu dessines des rebelles dévastant New-York City. Et puis, tu rencontres un garçon, un garçon dont tu tomberas amoureuse. Il te fera comprendre que tu es une personne géniale qui mérite d'être heureuse. Tu as 16 ans, tu es encore naîve mais loin d'être innocente. Et puis un jour, après un engueulade, tu t'enfuis. Tu pars parcourir l'horizon à la recherche d'amour. Pendant quinze jours, ni ta mère, ni ton père saura oû tu étais. Puis un jour, tu comprends ce qu'est l'amour. Tu t'assisi près d'une rivière, et écoute le coulis de l'eau sur la terre. Dis-toi qu'au bout, hé ! il y a la mer et que ça, ça n'a rien d'éphémère... Tu comprendras alors que tu n'es rien, comme celui avant toi, comme celui qui vient! Tu vis cet amour. Tu l'aimes, il t'aime, la vie est belle. Il est grand temps de faire une pause, de troquer cette vie morose contre le parfum d'une rose. C'est l'hymne de nos campagnes, de nos rivières, de nos montagnes, de la vie man! Du monde animal. Crie-le bien fort, use tes cordes vocales! Pas de boulot, pas de diplômes. Que le liquide qui coule dans tes mains te servira à vivre jusqu'à demain matin. Tu deviens fan de Simple Plan, Paramore et Coldplay. Tu chantes jour et nuit des histoires d'amour au song rock and roll. Tu danses jusqu'au bout de la nuit devant la rivière oû tu as embrassés pour la première fois ton premier amour. Et puis un jour, plus rien ; une larme coule sur ta joue, ton coeur se brise à chaque secondes que tu aperçois ta meilleure amie dans les bras de ton chérie; Ta vie s'écroule : tu veux courrir, faire que tout s'arrête, tu veux sauter, hurler pour dire que tu as mal, mais tu n'y arrive pas. Ta voix est faible, ton corps épuisé, ta vie tourne, et tu en as mal au coeur. Tu y repenses encore et encore : tu les revois, main dans les mains pendant le coeur de science po. Tous ces beaux jeux inventés pour passer devant les premiers, pour que chacun soit écrasé s'il refuse encore de plier. Tu as mal, mais tu ne dis rien. Le temps passe, et tu apprends à vivre sans lui. A 18 ans, tu obtiens son diplôme. Tu te sauves à l'autre bout du pays sans ta mère cette fois. Mais elle te manque alors tu reviens. Et puis un jour, on te dit T'es belle comme un pétard qu'attend plus qu'une allumette. A ce moment-là, tu comprends qui tu veux devenir. Tu te prends plus au sérieux, mais tu grandis. Tu décides de vivre chaque instant, comme si c'était le dernier, car au fond, tu sais que tu ne l'a vivras qu'une fois.
■ MAJORITÉ:
« Avant de le rencontrer, je croyais que la violence était dans les cris, les coups, la guerre et le sang. Maintenant je sais que la violence est aussi dans le silence, qu'elle est parfois invisible a l'oeil nu. La violence est ce temps qui recouvre les blessures, l'enchaînement irréductible des jours, c'est impossible retour en arrière. La violence est ce qui nous échappe, elle se tait, ne se montre pas, la violence est ce qui ne trouve pas d'explications, ce qui a jamais restera opaque. » V. tu penses encore à cet amour perdue, ton amour d'été. Tu fais de ton mieux pour l'oublier, mais tu aimes tellement plus fort à chaque secondes. Même si il te fait pas, tu l'aimes. Ta mère te dit, relève toi, mais tu refuses. Tu ne l'écoute plus, tu es sous l'addict de l'amour : tu n'as des yeux que pour lui, alors qu'il abuse de toi. Ses larmes glacées ont rebondi sur le sol telles les perles d'un collier cassé. Tu penses toujours à lui, puis tout s'envole, encore une fois. Tu décides de te consacrer sur tes études, d'arrêter d'aimer, si aimer est souffrir. Tu crois que c'est possible, que si on s'endort a côté de quelqu'un, on peut rêver à la même chose, et qu'on va s'en aller loin, très loin, toujours tout droit, là où l'eau des glaçons coule jamais sur les joues des filles, tu crois que c'est vrai toi. De là que tu pars, où tu reviens chaque fois et où tout finira. Il y a des enfants, des grand-mères, une petite église et un grand café. Il y a au fond du cimetière des joies, des misères et du temps passé. Il y a une petite école et des bancs de bois. Tout comme autrefois. Tu revois ton passé défiler devant tes yeux, et tu décides d'aller de l'avant. Tu te repasses en boucle Never say Never de The Fray et tu pleures de ta vie. Tu pleures de joie car après tout, tu as réussie : tu es tombée amoureuse, tu as aimé très fort, mais après tout ça, tu es encore là, ta mère derrière toi. Maintenant, tu sais que plus rien ne pourra gâcher ton bonheur. Allons, bon, voilà ton sourire qui tourne à l'eau et qui chavire. L'année dernière, tu es arrivée ici - a cause de la jalousie de ta mère - tu as l'impression de vivre comme tu n'as jamais véçue auparavant. Tu fais la fête, découvre la joie d'aimer des hommes sans lendemain, tu essayes d'étudier sans grande ambition, mais plus que tout, tu essayes d'aimer, pour l'être en retour. Mais en ce moment , tue ne sais plus si tu as mal ou si c'est l'habitude d'être toujours celle qui chiale et qui se prend tous les murs. Tu ne sais plus si tu as froid ou si c'est le vide qui te glace les os et puis les doigts quand ça devient trop dégueulasse. Tu ne sais plus si tu rêves encore ou si les songes mêmes sont morts. Tu ne sais plus si on t'attends ou si on fait juste semblant ... Tu te cherches encore, tu ne sais pas vraiment qui tu es. Tu es entre deux mondes : celui de la beauté de l'adulte et de l'indépendance et celui du trash, pailette et rumeurs qui te fait pourtant rêver. Tu ne vis pas, tu triches, pour mieux être après. Tu es juste Alycia toi , une fille spéciale rancuière, tétue, maladroite mais sans aucun doute la meilleure des filles de ta génération. Je serais là pour toi, comme je l'ai déjà été tout au long de ta vie.
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