C'est quand la nuit arrive, que le danger apparaît

Vingt trois heure quarante cinq. Je marchai dans la rue, la grande rue. Il était tard, et je n'avait qu'une idée en tete, me blottir dans mon lit aprés une journée on ne peut remplis. Malheuresement, le chemin était assez long, et je n'arriverai pas avant vingt minutes si je prennait les avenues principal. Le chois s'imposa dans ma tete. Et je decida finalement de coupée par une petite ruelles. Ce qui s'avérait n'etre pas forcement un trés bon choix. La protitution et la drogue régnait dans ce genre de quartier et je pense que je n'était pas forcement la bienvenue.Je ata le pas donc, sous le regard interogateur des clans a chaque coin de rues. Je n'avait jamais vu ce cîté aussi sombre de l'ile. Mes pas se cousculèrent au fur et a mesure que j'accélérais. J'arrivais dans un coin moins fréquenté et ralentis donc un peu. Je ne repasserais surement pas de si tôt dans cette endroit, enfin, en tout cas, a cette heure ci. Je me retournais, juste au loin un groupe. Et puis, quelques secondes aprés, sans avoir compris, mes genou tappèrent sur le sol froid et durs qu'offrait les dalles de ces rues. Je m'etalais de tout mon long, dans une position qui en aurais fait rire plus d'un, et puis, je me rendis compte, la, au niveau de ma cuisse gauche, un rou dans ma robe :

- Non !!

Elle était toute neuve, elle était toute neuve !

- C'est pas vrai !

Je m'assis contre le mur, d'un facon si brutale, que j'eu mal au dos quand il tapa le mur. Ce fus la goutte d'eau, en temps normal, j'aurai ronchonnée quelques minutes, puis je serais retournée au magasin le lendemain, pour en achetée une plus belle encore. En temps normale ... sur Terre. Et puis ici, c'etait quoi, des extraterestres ? Qui était t-il, finalement, la race humaine leur descendais a eux, ou a nous ? Les apprences trompeuses de cette ile cachait heuresement ce que je ne voulais pas montrer. Finalement, ici, j'avait tout perdu, mes amis, ma célebrité. Vallait-illa penne de faire des efforts ? Ho, et puis, quesque tu raconte Apolline ! Il fallait que je me reprènne, c'est dans les moments comme ca, qu'on se dit que ça aurait été pas mal d'accepter quelques contrats de cinéma, au moins, aprés, tu sait jouer la comedie sur mesure. Je possais ma tete sur mes genoux, recroquevilé dans mes pensée, recroquevilé dans mon avenir prochain. Puis, au loin dans la rue, j'entendis des pas, en petite course meme, je relevais la tete et m'appretais a me lever, histoire de vite partir d'ici, quand je vis, devant moi, un jeune homme, un jeune iconnu.